La scène nous plonge immédiatement dans la perplexité:
doit-on rire du caractère grotesque de cette représentation ou doit-on frémir
devant notre fin annoncée dans une telle fiction?
Le règne des Casoars... De nouveaux maîtres du monde après
l’effondrement de l’Humanité ? Un résurrection fantasmagorique de créatures aux
faciès préhistoriques qui encadrent les derniers hommes comme des curiosités de
zoo, d’éventuels animaux de compagnie? On ne peut s’empêcher de penser à “La
planète des singes” et sa prédiction de notre remplacement prochain au sommet
de la hiérarchie du vivant...